Quand Jean-Marc Hardy a proposé d’envoyer son livre avec la collaboration d’ Isabelle Canivet : “Rédaction et neurosciences” en échange d’un article sur mon blog, j’ai sauté sur l’occasion.
En le voyant arriver dans ma boite aux lettres, j’ai tout de suite pensé que ça allait être long à lire même s’il n’est pas si épais que cela : 150 pages environ.
J’ai mis un peu de temps à le lire car je suis capable de commencer jusqu’à 5 ou 6 livres en même temps, 2 ou 3 séries et qu’il me faut bien trouver le temps de les finir pour mieux se concentrer sur un seul ouvrage. Surtout qu’il est dense en informations.
Après quelques efforts pour terminer ce que j’ai pu commencer, j’ai donc réussi à m’engager dans cette lecture et c’est une bonne surprise. Je n’ai pas ressenti trop de difficultés à comprendre ce qui est mentionné car le vocabulaire reste accessible. L’ensemble est saupoudré d’exemples pertinents et l’ouvrage reste bien équilibré.
Cependant, après une première lecture, je ne suis pas certain d’avoir tout retenu car il assez complet pour un novice en neurosciences comme moi.
J’ai tenté d’avoir une lecture active en prenant des notes mais j’ai très vite laissé tomber pour me faire plaisir avant tout et le lire tel un roman.
Fournissant des références bien classées, je pourrai surement m’y replonger sur un thème particulier de temps à autre. Le début me semble très technique mais permet de bien comprendre les différentes zones qui interagissent dans ce flot d’émotions et de connexions de notre tête.
Ce qui me plait c’est observer sa rédaction sous un nouvel angle : celui du cerveau.
Vais-je pour autant mieux écrire ?
Si je prends le temps de faire les exercices et de m’assurer d’avoir tout retenu avec les questionnaires, peut-être.
Je recommande cet ouvrage à tout ceux qui comme moi ont entendu parlé vaguement de neurosciences mais n’ont pas une idée vraiment de ce qu’il en retourne.
C’est aussi une source de créativité pour se donner des idées et écrire sous un nouveau jour vos textes.
Pour ma part, il m’inspire quelques dessin en facilitation graphique et me donne envie d’écrire autrement. Je le reprendrais quand j’aurai de nouveau le temps et l’envie de relire certains passages.